Le jardin est accessible aux handicapés.
Accès : avenue Ferdinand-Buisson, Métro : Porte de Saint-Cloud (ligne 9)
75016 Paris

Place de la porte de Saint-Cloud - Les Fontaines
Cet article relate le parcours de l'équipe de France de football lors de la Coupe du monde de football 1938 organisée en France du 4 juin au19 juin 1938.
Numéro / Nom | Équipe actuelle | Date de naissance | J. | Buts | ![]() | ![]() ![]() | ![]() | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Gardiens de but | ||||||||
- | Julien Darui | Olympique lillois | 16.02.1916 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Laurent Di Lorto | FC Sochaux | 01.01.1909 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | René Llense | FC Sète | 14.07.1913 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Défenseurs | ||||||||
- | Abdelkader Ben Bouali | Olympique de Marseille | 25.10.1912 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | François Bourbotte | SC Fives | 24.02.1913 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Hector Cazenave | FC Sochaux | 13.04.1914 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Raoul Diagne | RC France | 10.11.1910 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Etienne Mattler | FC Sochaux | 25.12.1905 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Jules Vandooren | Olympique lillois | 30.12.1908 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Milieux de terrain | ||||||||
- | Jean Bastien | Olympique de Marseille | 21.06.1915 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Edmond Delfour | Racing Club de Roubaix | 01.11.1907 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Oscar Heisserer | RC Strasbourg | 18.07.1914 | 2 | 1 | 0 | 0 | 0 |
- | Lucien Jasseron | Le Havre AC | 29.12.1913 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Auguste Jordan | RC France | 21.02.1909 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Ignace Kowalczyk | FC Metz | 27.12.1913 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | César Povolny | Le Havre AC | 19.07.1914 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Attaquants | ||||||||
- | Alfred Aston | Red Star | 16.05.1912 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Michel Brusseaux | FC Sète | 19.03.1913 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Roger Courtois | FC Sochaux | 30.05.1912 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
- | Jean Nicolas | FC Rouen | 09.06.1913 | 2 | 2 | 0 | 0 | 0 |
- | Émile Veinante | RC France | 12.06.1907 | 2 | 1 | 0 | 0 | 0 |
- | Mario Zatelli | Olympique de Marseille | 21.09.1912 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Sélectionneur | ||||||||
Gaston Barreau | 07.12.1883 | |||||||
Préparateur physique | ||||||||
Maurice Cottenet | 11.02.1895 |
Bien que sélectionné, César Povolny n'a jamais porté le maillot de l'équipe de France.article relate le parcours de l'équipe de France de football lors de la Coupe du monde de football 1938 organisée en France du 4 juin au19 juin 1938.
Le Grand Prix de France 1938 est un Grand Prix comptant pour le Championnat d'Europe des pilotes, qui s'est tenu sur le circuit de Reims-Gueux le 3 juillet 1938
Pos | no | Pilote | Écurie | Châssis | Tours | Temps/Abandon | Grille | Points |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | 26 | ![]() |
Daimler-Benz AG | Mercedes-Benz W154 | 64 | 3 h 4 min 38 s 5 | 2 | 1 |
2 | 24 | ![]() |
Daimler-Benz AG | Mercedes-Benz W154 | 64 | + 1 min 31 s 1 | 3 | 2 |
3 | 28 | ![]() |
Daimler-Benz AG | Mercedes-Benz W154 | 63 | + 1 tour | 1 | 3 |
4 | 4 | ![]() |
Talbot-Darracq | Talbot T150C | 54 | + 10 tours | 6 | 4 |
Abd. | 2 | ![]() |
Talbot-Darracq | Talbot T150C | 38 | Moteur | 7 | 5 |
Abd. | 10 | ![]() |
SEFAC | SEFAC | 2 | 8 | 7 | |
Abd. | 16 | ![]() |
Auto Union | Auto Union Type C/D | 1 | Accident, essieu arrière | 4 | 7 |
Abd. | 22 | ![]() |
Bugatti | Bugatti T59/T50B3 | 1 | Arrivée d'huile | 9 | 7 |
Abd. | 18 | ![]() |
Auto Union | Auto Union Type C/D | 1 | Accident | 5 | 7 |
Np. | 6 | ![]() |
Talbot-Darracq | Talbot T150C | Non partant | 8 | ||
Np. | 8 | ![]() |
Louis Delage | Delage 145 | Pilote blessé | 8 | ||
Np. | 12 | ![]() |
Officine A. Maserati | Maserati Tipo 8CTF | Non partant | 8 | ||
Np. | 36 | ![]() |
Officine A. Maserati | Maserati Tipo 8CTF | Non partant | 8 | ||
Np. | 20 | ![]() |
Auto Union | Auto Union Type C/D | Accident aux essais | 8 | ||
Np. | 30 | ![]() |
Écurie Bleue | Delahaye 145 | Non partant | 8 | ||
Np. | 32 | ![]() |
Écurie Bleue | Delahaye 145 | Non partant | 8 | ||
Np. | 34 | ![]() |
Écurie Bleue | Delahaye 145 | Non partant | 8 | ||
Np. | ![]() |
Daimler-Benz AG | Mercedes-Benz W154 | Pilote de réserve | 8 | |||
Np. | ![]() |
Auto Union | Auto Union Type C/D | Pilote de réserve | 8 |
La guerre d'Espagne (souvent également désignée sous le nom de guerre civile espagnole ou moins fréquemment de révolution espagnole6) est un conflit qui opposa, en Espagne, le camp des « nationalistes » à celui des « républicains » ces derniers réunissant, parfois avec de vives tensions, communistes, socialistes, républicains et anarchistes. Elle se déroula dejuillet 1936 à avril 1939 et s'acheva par la défaite des républicains et l'établissement de la dictature de Francisco Franco, qui conserva le pouvoir absolu jusqu'à sa mort en 1975.
Cette guerre fut la conséquence, sur le long terme, des malaises sociaux, économiques, culturels et politiques qui accablaient l'Espagne depuis plusieurs générations. Après la proclamation de la IIe République en 1931, l'exacerbation croissante des tensions entre Espagnols culmina avec l'insurrection durement réprimée des Asturies (1934) et la résurgence de troubles civils et de violences réciproques au printemps 1936, après la victoire électorale du Frente Popular. Préparé de longue date, le soulèvement militaire et civil du camp nationaliste éclata le 18 juillet 1936, mais sa mise en échec partielle contraignit les deux camps à se livrer une guerre totale imprévue, longue et meurtrière.
Le conflit prit aussi la forme, dans certains territoires sous contrôle républicain, d'une révolution sociale originale qui aboutit à la collectivisation des terres et des usines, et expérimenta différentes sortes d'organisation de type socialiste(soutenues notamment par des anarchistes de la CNT7).
Guerre civile espagnole
Valentín González menant les soldats républicains de la 45edivision dans les environs de Villanueva de la Cañada, lors de la bataille de Brunete.
Particulièrement violente, et durablement traumatisante, la guerre d'Espagne est tristement célèbre comme théâtre de multiples exactions. Elle vit en particulier les premiers bombardements militaires sur les civils, perpétrés par l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste, alliés de Franco, l'élimination du POUM et de ses responsables antistaliniens par le NKVD et des anarchistes par le Parti communiste espagnol, des massacres spontanés de suspects, d'hommes d'Église ou de membres des classes moyennes et dirigeantes par des anarchistes et des communistes dans les mois qui suivirent la sédition militaire, tandis que le nouvel État nationaliste se construisait à travers la terreur et l'épuration systématiques. En particulier, les franquistes refusèrent toutes les propositions adverses de compromis et poursuivirent, après leur victoire, une répression incessante et de très grande ampleur35.
Cette guerre civile fut également le théâtre des prémices de la Seconde Guerre mondiale, les futurs belligérants européens commençant à s'y affronter plus ou moins directement : l'Allemagned'Hitler et l'Italie de Mussolini apportèrent leur soutien à Franco, tandis que l'Union soviétique de Staline vendit des armes aux républicains (tout en cherchant la prise de pouvoir au sein de la République). La France et le Royaume-Uni choisirent la non-intervention et le blocus des exportations d'armes, mais laissèrent les Brigades internationales s'engager aux côtés des républicains.
La guerre d'Espagne divisa et passionna les opinions publiques du monde entier. L'engagement de nombreux intellectuels et artistes auprès des combattants, en particulier dans les Brigades internationales, a contribué à lui faire acquérir très vite une dimension légendaire qui perdure encore.
Par ailleurs, pour certains historiens, la Seconde Guerre mondiale a débuté avec la guerre civile qui oppose en effet de 1936 à 1939républicains et nationalistes en Espagne et qui fait environ 400000 morts. Dès 1936, les Européens y voient un conflit à portée universelle : pour la gauche, elle marque l'expansion du fascisme, et pour la droite, elle révèle la menace du bolchévisme.
Le 23 décembre 1938, les franquistes lancent l'offensive finale contre la Catalogne et
un mois plus tard, le 26 janvier 1939, ils entrent à Barcelone.
Vers tous les postes-frontières des Pyrénées affluent de longues files de réfugiés,
civils et combattants, qui fuient la répression nationaliste. C'est la «Retirada».
Pas moins de 400.000 au total vont passer en France et un grand nombre y faire
souche.
Le gouvernement de Negrin est renversé le 5 mars 1939 par une junte formée
à Madrid sous la houlette du général Miaja qui se dispose à négocier sa
reddition avec Franco... Enfin, le 28 mars 1939, les nationalistes espagnols
entrent à Madrid. Ils font le défilé de la victoire devant Franco.
Le 1er avril 1939, Franco publie un laconique communiqué de victoire:
«La guerre est finie». C'est la fin d'une guerre civile de trois ans qui aura
coûté à l'Espagne environ 400.000 morts et autant d'exilés. C'est
aussi la fin de la «République démocratique des travailleurs de toutes classes»,
née en 1931.
Mais le pays n'est pas au bout de ses malheurs. De longues colonnes de
réfugiés républicains se pressent à la frontière des Pyrénées et demandent
asile en France. La répression, dans les premières années de la dictature
franquiste va encore faire plusieurs centaines de milliers de victimes.
Et ce n'est que bien après la Seconde Guerre mondiale que l'Espagne
accèdera enfin à la sérénité...
Poursuivant ses objectifs pangermanistes, Hitler menace ensuite la Tchécoslovaquie.
Les régions de la Bohême et de la Moravie situées le long des frontières du
Grossdeutschland, appelé Sudètes, sont majoritairement peuplées par la minorité
allemande. Comme pour l’Autriche, Hitler affirme ses revendications en s’appuyant
sur les agitations de l’organisation nazie locale, menée par Konrad Henlein. Le Führer
évoque le « droit des peuples » pour exiger de Prague l’annexion au Reich des Sudètes.
Bien qu’alliée à la France (et à l’Union soviétique), la Tchécoslovaquie ne peut compter
sur son soutien. Paris veut absolument éviter le conflit militaire, incitée en cela par
le refus britannique de participer à une éventuelle intervention. Le souvenir de la Grande
Guerre influence également cette attitude : si les Allemands ont développé le désir
de revanche, les Français entretiennent quant à eux une ambiance générale résolument
pacifiste.
Le 29 septembre 1938, conformément à une proposition de Mussolini faite la veille,
Adolf Hitler, le président du Conseil français Édouard Daladier, le Premier ministre
britannique Neville Chamberlain et le Duce italien Benito Mussolini, réunis dans la
capitale bavaroise, signent les accords de Munich. La France et le Royaume-Uni
acceptent que l’Allemagne annexe les Sudètes, pour éviter la guerre. En échange,
Hitler, manipulateur, assure que les revendications territoriales du Troisième Reich
s'arrêteront là. Le lendemain, la Tchécoslovaquie, qui avait commencé à mobiliser,
est obligée de s’incliner. Parallèlement, le Troisième Reich autorise la Pologne et
la Hongrie à s’emparer respectivement de la ville de Teschen et du sud de la
Maître-d’œuvre de la politique d’« apaisement » avec le Reich, le Premier ministre
britannique Neville Chamberlain a alors ce mot fameux : « Hitler est un gentleman ».
Mais alors que les opinions publiques française et britannique sont enthousiastes,
Winston Churchillcommente : « Entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le
déshonneur. Et vous allez avoir la guerre. » De fait, Hitler rompt sa promesse à peine
quelques mois plus tard.
En mars 1939, la République slovaque, encouragée par Berlin, proclame son
indépendance ; son leader, Jozef Tiso place son pays sous l’orbite allemande. Hitler,
lors d’une entrevue dramatique à Berlin avec le président tchécoslovaque Emil Hácha
(remplaçant le président démissionnaire Edvard Beneš), menace de bombarder Prague
si la Bohême et la Moravie ne sont pas incorporées au Reich. Le 15 mars, Hácha cède,
et l’armée allemande entre à Prague sans combat le lendemain. La Bohême et la
Moravie deviennent le Protectorat de Bohême-Moravie, dirigé par Konstantin von Neurath
à partir de novembre 1939, puis de 1941 à son exécution par la résistance tchèque
en mai 1942, par le haut chef SS Reinhard Heydrich, surnommé « le boucher de Prague ».
En mettant la main sur la Bohême-Moravie, le Reich s’empare par la même occasion
d’une importante industrie sidérurgique et notamment des usines Škoda, qui
permettent de construire des chars d’assaut. En annexant des populations slaves
et non plus allemandes, Hitler a jeté le masque : ce qu'il poursuit n'est plus le
pangermanisme classique mais, ainsi qu'il l'avoue sans fard à ses généraux
le 23 mai 1939, la conquête d'un espace vital illimité.
CINEMA
L'arrivée du cinéma parlant est un tremblement de terre qui réveille l'Endormie. 20 salles sonorisées sont recensées en France en 1929 ; elles sont déjà 1 000 en 1931 et 4 250 en 1937. Une belle génération de réalisateurs et une foule d'acteurs talentueux, venant le plus souvent du théâtre, permettent la production de plusieurs chefs-d'œuvre. Le public suit, même si on reste très loin des chiffres anglais, typiques d'une civilisation urbaine, tandis que la France compte encore la moitié de sa population à la campagne. 150 millions de spectateurs en 1929, 234 en 1931 puis 453 en 1938 (avec une baisse en 1932, d'où l'instauration en 1933 du « double programme », deux long-métrages par séance pour le prix d’un seul, généralement un américain et un français), la progression est belle. Elle s'arrête provisoirement là, car une grève paralyse pendant plusieurs mois le monde cinématographique français au premier semestre 1939. La guerre mettra tout le monde d'accord… La période révèle les premières vedettes du cinéma parlant. Citons ici Arletty, Annabella, Louis Jouvet, Victor Francen, Charles Boyer, Mireille Balin, Viviane Romance, Pierre Fresnay, Harry Baur, Charles Vanel, Albert Préjean, Madeleine Renaud, Pierre Blanchar, Fernand Gravey, Pierre Richard-Willm, Fernandel, Jean Gabin, Raimu, Danielle Darrieux et Michel Simon du côté des acteurs, Sacha Guitry, Julien Duvivier, Jean Renoir, René Clair, Jean Grémillon, Henri Decoin, Marcel Pagnol pour ne citer qu'eux, chez les réalisateurs
Entrée des artistes (1938) |
Un extrait de Entrée des artistes au cours duquel Louis Jouvet vient défendre une de ses élèves au conservatoire ..
Entrée des artistes,Marc Allegret (1938) Scenario:André Cayatte,Henri Jeanson. Avec Louis Jouvet.
Pierre Fresnay, de son vrai nom Pierre Jules Louis Laudenbach, est un acteurfrançais, né le 4 avril 1897 à Paris 5e et mort le 9 janvier 1975 à l’hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)1.
Jean Gabin and Michèle Morgan: Le Quai Des Brumes, 1938Jean Gabin et Michèle Morgan: Le Quai Des Brumes, 1938
Jean Gabin - la belle équipe
Jean Gabin - pépé le moko
Michel Morgan et Jean Gabin dans quai des brumes
LA CHANSON
Je chante est une chanson de Charles Trenet, datant de 1938, composée par
Charles Trenet et Paul Misraki.
L'auteur-compositeur-interprète l'écrit pour le film musical du même nom, Je chante,
de Christian Stengel (1938). Dans cette chanson, un pauvre vagabond décrit sa vie,
uniquement remplie par le chant. À la fin de la chanson, emprisonné par les gendarmes,
il se pend pour retrouver laliberté et revient sous forme de fantôme. Ainsi, malgré des couplets légers et insouciants en apparence, la chanson s'achève sur un suicide.
Guy Lafarge
Guy Lafarge (Périgueux, 5 mai 1904 - Paris, 17 décembre 19901) est un
compositeur français.
adresse : Avenue Ferdinand Buisson 75016 Paris
Le jardin est accessible aux handicapés.
Accès : avenue Ferdinand-Buisson, Métro : Porte de Saint-Cloud (ligne 9)
75016 Paris
Place de la porte de Saint-Cloud - Les Fontaines
19:47 Publié dans Blog, Coup de coeur/Coup de griffe, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 1938, coupe de france, football, automobile, grand prix de france, mercedes-benz w125, guerre d'espagne, crise des sudètes, accords de munich, cinéma parlant, entrée des artistes, louis jouvet, pierre fresnay, jean gabin, michèle morgan, charles trenet, guy lafarge, yves montant, saint cloud | | | Facebook |
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